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Dax Motors n’ Blues Festival dans les archives du 2ème quotidien régional français fondé en 1944. Depuis 2009 le Motors n’ Blues se déroule chaque année dans le parc des Arènes de Dax dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine, au mois de juillet, au milieu des plus belles motos et de plusieurs milliers de festivaliers fans de blues.

Montain Man 4 juillet 2025.

-- 6 juillet 2025.

« C’est une édition très positive, on est sur les rotules  ! »

Le festival Motors’n’Blues ensoleillé jusqu’au bout. La 15e édition du festival a tenu toutes ses promesses, grâce à une météo clémente, des artistes ravis de repasser par Dax et un public séduit par les animations et les balades à motos proposées durant le week-end.

Le directeur du festival, Stéphane Duboscq, l’a dit au micro, sur scène, samedi soir, juste avant le concert des Landais de The Hyènes : « Ça fait des années qu’on rêvait d’une édition où il n’y aurait ni orages, ni tempête, ni canicule… Je crois que cette édition qu’on a tant attendue est enfin arrivée ! »

La soirée du vendredi était déjà prometteuse avec une bonne fréquentation, des concerts où les amis et les parrains du festival se sont succédé sur scène dans une ambiance festive, et une belle jauge de spectateurs par rapport aux autres années aux ciels plus incertains. « Nous sommes en avance par rapport aux éditions précédentes lors de la première soirée, confirme l’organisateur. Sur le samedi soir, on est aussi un petit peu au-dessus. »

Après une extinction des feux, à l’issue de la première soirée de concerts, à 3 h 30 pour les plus courageux – à savoir les bénévoles qui remettaient le site en état –, le samedi a vu la première promenade à motos, avec un tout nouveau parcours : « Entre les travaux un peu partout dans les villages que nous avions l’habitude de traverser et les fêtes organisées à droite et à gauche, il a fallu travailler sur un tout nouveau parcours, mais c’était aussi l’occasion de changer un peu de paysages !  », explique Stéphane Duboscq.

L’arrivée en centre-ville, avec un concert de la programmation off du festival – le trio Sunflower – a redonné de la vie à la place Roger-Ducos et à la brasserie Experiment’Halle, après le départ à la mi-journée des derniers stands du marché. Puis le parc des Arènes s’est de nouveau garni progressivement, au fur et à mesure que le mercure descendait, pour une soirée plus calme, lors de laquelle The Hyènes ont assuré le spectacle, et où le guitariste Frédéric Parcabe a emmené le public encore attentif vers des territoires musicaux inconnus.

« On reviendra !  »

Le dimanche, rebelote sur les routes du Grand Dax, avec un nombre impressionnant de participants, sur deux, trois ou même quatre roues. Les derniers gros morceaux musicaux de la journée, ceux du Sextet Guital et Cie, ont résonné, histoire d’approfondir un peu sa culture musicale avec Guy-Denis Bastien et Frédéric Chaudagne, qui ont raconté au public l’histoire du blues, tout en interprétant des classiques.

Enfin, le Conservatoire municipal de musique a joué devant les derniers spectateurs encore présents dans le parc ce dimanche soir. « C’est une édition très positive, on est sur les rotules et il a quand même fait très chaud, comme à chaque fin de festival, mais les bénévoles, sans qui on ne pourrait pas organiser cet événement, ont l’air content de l’ambiance et du public présent sur les deux soirs.  » Un exposant venu pour la première fois de la région lyonnaise, à l’heure de remballer, semble conquis : « C’était très sympa, ça nous a plu, donc on reviendra !  »

sudouest.fr

— Par Arnauld Bernard - Publié le 6 juillet 2025.

Frédéric Parcabe à l’affiche de Motors’n’Blues à Dax.

Après une longue carrière d’accompagnateur, le chanteur guitariste originaire de Dax présentait son groupe Midnight Cross ce samedi 5 juillet au soir au Motors’n’Blues festival. Portrait d’un artiste caméléon

Consultons le calendrier astral du rock’n’roll. Vérifions les alignements de planètes : pas de doute, le guitariste Frédéric Parcabe est né au bon moment. Assez tôt pour jouer avec des musiciens légendaires des années 1970-1980 encore verts. Assez tard pour mettre sa six cordes au service de la génération émergente des années 1990-2000. « Tout gosse, j’ai appris le solfège avec mon oncle, enseignant à l’école de musique, dont l’orchestre était bien connu dans la région dacquoise. Je détestais le solfège ! Je m’étais sculpté une guitare en carton. »

Un mal pour un bien, ces rudiments ont sans doute permis à « Fred » de devenir ce musicien de studio caméléon, capable de mettre ses talents au service des esthétiques les plus diverses. « J’ai fait du bal, joué dans des groupes locaux, le guitariste Marcel Serrano m’a mis le pied à l’étrier. »

Vient le moment de franchir un cap. Frédéric Parcabe monte à Paris, enchaîne les allers-retours à Londres. Se forme aux techniques de studio et d’enregistrement. C’est le début, à 19 ans, d’une carrière de guitariste professionnel. Ce que les anglo-saxons appellent « sideman » et que les connaisseurs adulent parfois autant que les rock stars. Puis « un séjour à Genève m’a beaucoup marqué dans un milieu alternatif underground surprenant, très actif à la fin des années 1980. » Un déclic.

Blue Oyster Cult, Tony Joe White, Cock Robin.

Un premier projet personnel suivra avec le groupe The Learned, deux albums et des tournées européennes pendant cinq ans. Nouveau cap franchi cette fois, avec l’écriture et le chant. La liste des artistes pour lesquels il joue de la guitare, de la basse, travaille comme compositeur ou arrangeur, qu’il manage et produit plaira aux moines copistes décrypteurs de pochettes de disques : Blue Oyster Cult, Wishbone Ash, Tony Joe White, Cock Robin, Jude, Peter Van Poehl Buzzcocks, des projets de solo de membres des groupes de Tears for Fears, Alice Cooper, Beck, Bjork, Ben Harper, REM ou encore Beasty Boys.

Plus près de nous, Marc Lavoine, Oxmo Puccino, Adrienne Pauly, Keren Ann, Cali, Raphaël, Gauvain Sers, Louis Bertignac, Cali, mais aussi l’audiovisuel (France 2, Arte) ont fait appel à ses services. La liste n’est pas exhaustive.

Aujourd’hui, Frédéric Parcabe ouvre un nouveau chapitre sous le nom de Midnight Cross. Il a rassemblé des « sidemen » (chacun son tour) amis, dans une formation que les spectateurs du Motors’n’Blues festival de Dax ont pu découvrir en avant-première ce samedi soir dans le parc des Arènes. « Stéphane, l’organisateur, m’a donné une chance formidable », insiste l’artiste.

Le sud, une inspiration.

Il a forgé son propre univers à partir des expériences qui l’ont nourri pour composer, écrire, arranger l’album «  World in Tangle ». « J’essaie de composer avec le moins d’accords possible, entre le punk et la musique modale. »
Le disque va bien au-delà : folk, rock, blues, progressif, new wave habitent des chansons parfois longuement mûries. Il sera prochainement disponible sur les plateformes de téléchargement. Deux extraits sont déjà en ligne.

Basé à Paris, Frédéric Parcabe, lui aussi, vient du sud et dès que s’ouvre le chemin, il y revient. « C’est une inspiration pour moi, la nature, les barthes. J’aime le blues, le flamenco, la musique du Sahel. Au-delà des frontières et des idées reçues, il y a quelque chose de commun aux musiques des sud. »

sudouest.fr

— Par Arnauld Bernard - Publié le 6 juillet 2025.

La quinzième édition se passera du vendredi 4 au dimanche 6 juillet, dans le parc des arènes.

Vendredi 4 juillet, la soirée Best-Off viendra célébrer les 15 ans du festival Motors’n’Blues, à Dax. « Stephan ‘‘Fingers’’ Barincourt fait partie des premières rencontres sur le festival. Nous n’avions jamais eu l’occasion de l’accueillir dans le parc avec son groupe », explique Stéphane Duboscq, directeur de l’événement.

Il sera sur la même affiche que les Mountain Men, parrains du festival : « Deux musiciens qui partagent sur scène et en dehors une chaleur incroyable. La guitare et la voix de Mat, la folie et l’harmonica de Barefoot Iano, au service d’un blues-rock pur et sincère. » Enfin, Nico Wayne Toussaint se produira avec le BTC Blues Revue : « On a demandé plusieurs fois au groupe de se reformer, mais les dates ne collaient pas, jusqu’à cette édition. Nico Wayne Toussaint et Fred Chapelier seront à nouveau réunis pour un concert mémorable ! »

Rock symphonique pour finir.

Samedi 5 juillet, aux frontières du blues et du rock, le public retrouvera sur scène Miguel M, un autre fidèle, avec « un nouveau projet, en hommage à Lucky Peterson, le guitariste américain. » Puis Teddy Costa fera découvrir son dernier album, allant de la musique Cajun à l’univers feutré de Norah-Jones.

Les Hyènes seront aussi de la fête : « C’est le groupe des copains, ils sont tous Landais, il y a même un Dacquois ! Ils nous proposeront la version acoustique de leur répertoire. » Et enfin, Midnight Cross sera sur scène, avec à la guitare Fred Parcabe, un Dacquois d’origine qui a réuni des copains musiciens aux CV aussi longs que le sien, lui qui a accompagné un nombre incalculable de musiciens, de Gauvain Sers à Cock Robin. »

Enfin, au programme du dimanche 6 juillet : une déambulation musicale du brass band, ambiance Nouvelle-Orléans ; une histoire du blues avec Guital et ses acolytes ; un cours de danse en ligne country avec les Daxtons ; ou encore le concerts « Rock symphonique », un voyage musical dans les Highlands, entre musique celtique et blues. Le retour du Conservatoire de musique de Dax en version symphonique, pour ce dernier concert, constitue un véritable événement.

sudouest.fr

— Par Arnauld Bernard - Publié le 1 juillet 2025.

Motors’n’Blues revient à Dax du 4 au 6 juillet. Cette quinzième édition, autour des « copains du blues », a l’objectif de rassembler des artistes qui ont marqué l’histoire du festival. Ce sera à partir du vendredi dans le parc des arènes et dès la veille dans les rues de la ville.

Le Motors’n’Blues ne change pas. Ou alors si, mais en mieux. Disons qu’on reste sur les fondamentaux, la saine trinité : des copains, des motos et du blues. Mais chaque année, les organisateurs essayent d’apporter un peu plus de confort, d’hospitalité, de spectacle et d’animations. Il faut dire que, depuis 2009, il s’est passé pas mal de choses : des souvenirs de concerts mémorables, d’ambiances électriques, voire orageuses, de découvertes musicales et de rencontres indélébiles.

Et ce n’est pas le routard Mathieu Guillou, alias « Mr Mat », la moitié des Mountain Men, qui dira le contraire : « Pour moi, ce festival, ça représente vraiment les amis. Nous sommes venus jouer trois fois et, à chaque fois, on a reçu un accueil extraordinaire. Il y a une ambiance particulière, j’aurais du mal à dire vraiment ce que c’est, mais c’est vraiment un plaisir de revenir.  » Il faut dire que les Mountain Men ont fait une pause de six ans et tournent de nouveau à deux, dans la formation originale, avec un nouvel album. Après la folle aventure The Voice et plus de 1 000 concerts aux quatre coins du monde, de Memphis au Jazz à Vienne, ils reviennent à Dax, vendredi 4 juillet au soir.

Mr Mat reconnaît aussi que c’est le seul festival typé « moto » où ils ont joué : « Je suis moi-même motard, depuis très longtemps, donc c’est vrai que ça me parle et qu’il y a souvent de belles machines. C’est une période où on tourne pas mal en festival, donc je ne suis jamais venu en tant que spectateur, et puis on ne vient pas vraiment de la région (il vit en Isère, NDLR). Mais c’est toujours bourré de monde. Je me souviens aussi des afters qui finissent beaucoup trop tôt le matin, au pied du rempart, avec l’équipe du festival.  »

« Avec du cœur et des tripes »

Nico Wayne Toussaint est aussi un fidèle du parc des arènes : « J’ai grandi à Labenne et je connais Stéphane Duboscq et Nicolas Ubico depuis la naissance du festival. Je me souviens d’une année, je crois que c’était en 2022, il faisait tellement chaud que mon ampli de guitare avait cramé ! Au Motors’n’Blues, il y a le spectacle sur scène et le spectacle dans le public, avec tous ces passionnés de moto. C’est un festival d’amis, gratuit au départ. Je me souviens de super concerts à chaque fois que j’ai joué, avec un gros coup de cœur pour 2017 et la carte blanche à l’harmonica, pour laquelle j’avais fait venir des pointures. Quand ils ont eu des soucis financiers après le Covid, on a fait ce concert de soutien à l’Atrium, c’était aussi super d’être là.  »

Olivier Mathios, le bassiste des Hyènes et programmateur du CaféMusic’de Mont-de-Marsan, insiste sur cette « belle histoire humaine » qui dure depuis quinze ans : « Contre vents et marées, avec du cœur et des tripes. C’est la première fois qu’on viendra jouer en tant que The Hyènes, mais je suis monté sur scène avec les Mountain Men, une année, et quand le parc des arènes est bien rempli, c’est vraiment un superbe environnement pour les concerts. Surtout, ce qu’ils ont réussi, c’est à faire connaître le blues à des gens qui n’en écoutaient pas forcément, en leur permettant de venir en famille, gratuitement à une époque, et à un tarif très raisonnable aujourd’hui. » 5 euros pour une journée dans le parc des arènes et 12 euros pour le pass festival sur les trois jours.

Les passions mécaniques.

Dans ce festival, il y a des concerts, il y a aussi des passions plus… mécaniques. « Les concessionnaires motos et autos, ainsi que les associations de collectionneurs, seront de nouveau présents dans le parc tout le week-end. Mais c’est toujours un plaisir pour les propriétaires de présenter l’objet de leur passion. Le samedi après midi et le dimanche matin, deux nouveaux parcours, deux rendez-vous dédiés à la découverte du Grand Dax, seront proposés pour une grande balade encadrée. Celle de l’an dernier avait battu des records de fréquentation. « Les motos stationnées dans le parc font partie intégrante du festival », rappelle Stéphane Duboscq.

Des concerts seront également proposés en ville, dès le jeudi soir. Des Comptoirs du blues sont organisés dans des établissements, permettant une immersion plus intime, en complément des grandes scènes. Ils participent à l’animation de la ville pendant le festival : Quintana Dead Blues eXperience, jeudi 3 juillet à 19 heures à l’Experiment’Halle ; Glitch, le 5 juillet à midi aux Bains Saint-Pierre ; Sunflower, à 16 h 30 à l’Experiment’Halle ; Keep On Groovin’, le 6 juillet à 20 h 30, place Thiers.

sudouest.fr

— Par Arnauld Bernard - Publié le 30 juin 2025.

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